Un duo en gravel sur la GTMC !
Une Grande Traversée du Massif Central réussie ! (400 km sans les détours et 5700 de d+)
Voilà, on se décide : ce sera le Massif Central à VTT !
Les vélos sont prêts, chaussés en 42, nos vélos gravels souffriront moins et nous également.
L’aventure est prévue sur 6 jours, avec 400 km et un dénivelé de 5700 m.
On a hâte de découvrir cette partie de la France que nous ne connaissons pas.
Nous partons de Clermont pour rejoindre notre premier Airbnb à Volvic une vingtaine de km ce qui nous permettra de tester gentiment le matos.
La 1ere étape sera Volvic-Lachamps à peine 40 km avec 800 de d+ mais déjà on peut s’apercevoir que les cailloux seront bien présents et que le tubeless aurait été un plus. Les paysages sont déjà bluffants et la chaleur présente fait que nous avançons doucement. Le balisage nous permet d’oublier nos GPS et c’est très agréable pour suivre l’itinéraire.
On ne croise quasiment personne et les multiples fontaines nous permettent de remplir nos bidons d’eau bien fraîche.
Lachamps n’offre pas grand-chose mais cela suffira pour passer la nuit et le lendemain direction la station de ski Besse en Chandesse.
La liaison est courte mais le dénivelé et le poids des vélos équipés en bikepacking nous fait avancer doucement.
Les paysages sont tels que nous sommes partagés entre foncer dans les parties techniques ou profiter de ces grands espaces magnifiques.
Tellement partagés que nous avons fait les deux. Les parties en sous bois sont superbes, la diversité de la nature est extraordinaire, bref on adore .
Après une belle nuit de repos à Besse, le temps se gâte pour notre arrivée aux portes du Cantal, mais là encore une fois quand on est habitué à rouler à la campagne ou en bord de mer, ces paysages sont incroyables et surtout toujours bien balisés.
Les plateaux du Cantal sont un régal à rouler, en alternant les parties techniques et les larges parties roulantes.
Ces parties techniques auront raison de mon corps de roue libre. 25 km de draisienne plus loin, nous décidons de prendre le train.
C’est sûr, on reviendra !